PAUSE

Chers lecteurs, collègues enseignants, anciens élèves et autres curieux, après un peu moins d'une vingtaine d'années dans l'enseignement dont une bonne dizaine consacrée l'écriture quotidienne de ce blog, j'ai décidé de faire une pause afin d'exercer d'autres fonctions. Vous pourrez toujours consulter mes archives et ainsi découvrir le travail de mes élèves. Bonne lecture, Jean-Christophe DA VEIGA

Voir des travaux d'élève ou des élèves en action :

jeudi 4 avril 2019

Etude produit, Technologie // 2CV.A

Cours / 6 // Procédés à plat
  • Travail du jour : Exercice, lecture de documents et prise de notes
  • Durée : 1h — Séance n°2 {2h
  • Absent : Aubry, Sandoz, Lafontan, Carmont, Joseph     Retard : Aucun




Suite du cours :

2- L’offset

Aujourd’hui, l’offset reprend le principe litho mais adapté sur les cylindres d’une presse rotative. Son nom vient de l’anglais « to set off », ce qui signifie « report » ou « décalque ». En effet, un jeu de plusieurs reports s’effectue de la forme imprimante vers le support en papier.

Comme en litho, les plaques Offset sont planes. Elles sont simplement traitées de manière à posséder deux états de surface :
- une surface non-grasse qui attire l’eau (fond)
- une surface grasse qui attire l’encre (modèle à imprimer)

La plaque Offset est une feuille en aluminium sur laquelle est placée le modèle à imprimer. Elle est aujourd’hui obtenue numériquement via une machine nommée CTP ou Computer To Plate.

Par ailleurs, le procédé Offset dispose d’un cylindre intermédiaire appelé Blanchet. Il s’agit d’un cylindre à la surface caoutchouteuse qui permet d’assurer la bonne impression et un bon encrage (comme un tampon encreur).

Grâce au blanchet, l’offset est un procédé indirect et l’image sur la forme imprimante est donc à l’endroit.