PAUSE

Chers lecteurs, collègues enseignants, anciens élèves et autres curieux, après un peu moins d'une vingtaine d'années dans l'enseignement dont une bonne dizaine consacrée l'écriture quotidienne de ce blog, j'ai décidé de faire une pause afin d'exercer d'autres fonctions. Vous pourrez toujours consulter mes archives et ainsi découvrir le travail de mes élèves. Bonne lecture, Jean-Christophe DA VEIGA

Voir des travaux d'élève ou des élèves en action :

mardi 23 janvier 2018

Technologie, Étude produit // TCV

Cours // 9 / Impression en pochoir, la sérigraphie 
  • Travail du jour : Lecture de documents, prise de notes.
  • Durée : 2h — Séance n°2 { 4h
  • Absent : Chamontin          Retard : Beraud (1h)

- Suite -

Dans quels cas choisir la sérigraphie ?
La sérigraphie permet d’imprimer sur tout type de support :
  • Différents matériaux : papier, bois, métal, verre, textile, etc.
  • Différentes formes : plates, coniques, cylindrique
  • Différents formats : grandes affiches du métros/bus (sérigraphies à plat), petits visuels sur textile ou panonceaux.
Elle permet d’utiliser de nombreuses encres (classiques, métallisées, fluo, vernis, UV). Celles-ci sont déposées en grandes quantités, par conséquent, les couleurs imprimées sont vives et d’une grande qualité.
 
De fait, la sérigraphie est un procédé relativement artisanal (manipulation manuelle et temps de séchage long). Elle ne permet pas d’imprimer en grandes quantités (de 10 à quelques centaines à
l’heure) — ce qui implique de petits tirages.
 
Par ailleurs, la densité de la maille de l’écran empêche une linéature de trame d’impression fine. Par conséquent, les impressions en sérigraphie sont souvent des aplats ou des images avec une trame assez grossière (entre 45 et 90 lpp).