PAUSE

Chers lecteurs, collègues enseignants, anciens élèves et autres curieux, après un peu moins d'une vingtaine d'années dans l'enseignement dont une bonne dizaine consacrée l'écriture quotidienne de ce blog, j'ai décidé de faire une pause afin d'exercer d'autres fonctions. Vous pourrez toujours consulter mes archives et ainsi découvrir le travail de mes élèves. Bonne lecture, Jean-Christophe DA VEIGA

Voir des travaux d'élève ou des élèves en action :

mardi 15 mars 2016

TECHNOLOGIE // 1CV.B

Impression
//5_ Impressions & découpes numériques 

  • Travail du jour : analyse des documents, prise de notes. 
  • Durée : 1 h — Séance n°1 { 1h 
  • Absent : Adel, Belkessa, BenHassine, Bondo, Fadelli, Favorinus, Lefort, Odie, Renard, Ziane 
  • Retard : Gastrain
À noter dans son cahier :

B- LA REPROGRAPHIE LASER
C’est l’impression à l’aide de photocopieurs de production. L’encre sous forme de tuner (poudre colorée) est transférée sur le papier grâce à un cylindre d’impression éclairé au laser puis chauffé pour en assurer la cohésion. Le format d’impression maximum est le A3 en quadri recto/verso. La reprographie accepte l’impression sur des papiers à grammage élevé (350 g/m2) avec des vitesses variant de 20 à 125 pages par minute. Ce procédé est idéal pour l’impression d’affichettes (max A3), de dépliants, de petites brochures ou des livres en petite quantité (moins de 500 exemplaires). On l’utilise également pour l’impression en tirage limité de cartes de visite, d’enveloppes et de papiers à entête.

ATTENTION, les encres Toner sont fragiles et s’effritent à la manipulation (pliage) ce qui ne permet pas une bonne tenue dans le temps.


C- LA PRESSE NUMÉRIQUE
Il s’agit d’un procédé d’impression laser couteux mais avec une qualité d’encrage et d’impression similaire à l’offset. Son format d’impression est plus grand qu’en reprographie (SRA3+ soit 330 x 488 mm) ce qui permet d’imprimer un A3 en pleine page avec des bords perdus. C’est le procédé idéal pour de petits tirages qui seraient trop couteux en offset.


D- CAS PARTICULIER : LA DECOUPE NUMÉRIQUE
La découpe numérique, appelée « plotter », n’est pas une impression. Il s’agit de la découpe d’un support selon un fichier vectoriel (logotype, texte, etc). Généralement, le support est un vinyle adhésif, mais certaines machines permettent la découpe du plexiglass, du bois, du carton, etc. Avant la pose, l’adhésif découpé au plotter doit être échenillé, autrement dit on retire manuellement les contre-formes et les parties inutiles. Pour la production d’un support multicolore, il faut préparer autant de supports nécessaires. La découpe numérique est utilisée dans la signalétique, le marquage de véhicule, l’enseigne et le décor (évènementiel, commercial).