PAUSE

Chers lecteurs, collègues enseignants, anciens élèves et autres curieux, après un peu moins d'une vingtaine d'années dans l'enseignement dont une bonne dizaine consacrée l'écriture quotidienne de ce blog, j'ai décidé de faire une pause afin d'exercer d'autres fonctions. Vous pourrez toujours consulter mes archives et ainsi découvrir le travail de mes élèves. Bonne lecture, Jean-Christophe DA VEIGA

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mardi 5 janvier 2016

TECHNOLOGIE // 1CV.B

Procédés d'impression //
4_ L'héliogravure 

  • Travail du jour : analyse des documents, prise de note. 
  • Durée : 1 h — Séance n°1 {1h
  • Absent : Adel, Benhassine, Bondo, Odie, Renard, Ziane   
  • Retard : Belkessa, Gastrin, Japel, Letriche
    A- De la gravure à l’héliogravure 
    L’héliogravure est l’amélioration technique de la gravure à la taille douce. Contrairement à la xylographie, l’encre se trouve non pas sur les reliefs mais dans les creux de la plaque gravée. Du coup, une fois la plaque encrée, il faut racler l’excédent d’encre avant de le presser sur le support. 
    Développée à partir du XVe et en parallèle avec l’essort du papier, la taille douce sera le principal moyen de reproduction des images jusqu’à la fin du XIXe dans la presse, l’édition de livres, la fabrication de billets et de timbres. La taille douce s’effectue principalement à l’aide d’une pointe-sèche et d’un burin sur une plaque de métal (cuivre, acier) ce qui permet de reproduire des images de manière plus fine et plus précise qu’avec la xylographie. Le dessin des images imprimées est plus soigné ; les valeurs par hachurage sont mieux traduites et les typographies plus élégantes (pleins et déliés). Graveur à connaitre: Gustave Doré.